
Shirley, 33 ans, pèse 93 kilos pour 1,64 mètres. Elle a un Indice de Masse Corporelle (IMC) approximatif de 33. A la recherche d’une technique pour mincir, elle a contacté la Clinique des Champs-Elysées. On lui a proposé le ballon Allurion.
Shirley explique : « Le ballon Allurion a été pour moi une révélation parce qu’il m’a appris à pouvoir manger normalement. J’ai essayé beaucoup de régimes et j’ai toujours eu beaucoup d’effets yoyo. Je n’arrivais pas à mesurer ce que je devais manger et à ingérer des quantités raisonnables. C’est une connaissance que j’ai aujourd’hui grâce au ballon Allurion et c’est très important. »
Shirley détaille son parcours : « Une fois que les bilans avec la nutritionniste et le gastro-entérologue ont montré que j’étais éligible pour le ballon Allurion, j’ai eu un rendez-vous très rapidement. La pose du ballon s’est très bien passée. Il fallait avaler une gélule avec une petite canule. Une fois la gélule dans l’estomac, le médecin a vérifié avec une radio qu’elle avait atterri au bon endroit. Ensuite, il a gonflé le ballon. Ça s’est passé de manière de très rapide. En l’espace de 15 minutes, tout était fini. Et ensuite je suis rentrée chez moi. »
Le programme Allurion, à partir du moment où le ballon est posé, dure environ quatre mois. La nutritionniste est très présente après la pose du ballon pour s’assurer que tout va bien. Shirley a reçu un régime alimentaire spécifique pendant une semaine pour permettre à son organisme de s’adapter au ballon.
Une fois que son estomac s’est habitué au ballon, Shirley a vu que sa capacité d’ingérer des aliments était extrêmement limitée. Elle se rappelle : « J’ai perdu beaucoup de kilos les premiers jours. Approximativement six kilos. Ça m’a donné énormément de courage pour poursuivre mon régime. »
Shirley n’a pas seulement changé ses habitudes alimentaires, elle a aussi modifié son mode de vie et augmenté sa dépense énergétique quotidienne. Elle conclut : « Aujourd’hui, la nourriture, je la vois autrement. J’arrive à comprendre ce qu’il est important de manger et où est ma limite. »
Un autre avantage du ballon Allurion, c’est qu’il n’y a pas d’anesthésie. Shirley confirme : « Moi, c’est pour ça que j’ai opté pour la pose de ce ballon. Il n’y a pas d’anesthésie. Et ensuite après quatre mois, le ballon s’évacue naturellement par l’organisme. Ça, pour moi, c’était vraiment essentiel. »